Mêlant culture web et Japon, la marque Nattofranco réinvente le streetwear à la française. Sa créatrice franco-japonaise Noémie Aiko Sebayashi propose un vestiaire régressif aux accents 90’s qui flirte avec le no gender.

DES INSPIRATIONS VARIÉES
Née au Japon et élevée à Paris, Noémie Aiko Sebayashi fusionne ses racines pour donner à voir des créations à l’esthétique japonaise et des silhouettes minimalistes à la française. Ses inspirations majeures se composent de souvenirs d’adolescence, de pop culture, de streetwear et de retour à l’enfance…



« La France est ce que je vis, le Japon est ma muse » – Noémie Aiko Sebayashi, créatrice de Nattofranco.
Loin des canons de beautés traditionnels, la créatrice privilégie également « l’ultra-naturel » en choisissant des mannequins pas maquillés ni coiffés pour ses shootings. Le message est clair : le plus important est d’être cool et de rester soi-même. Elle déniche d’ailleurs la plupart de ses muses et de ses collaborations via Instagram qui voit naître de plus en plus une culture du « sans filtres ».




UN STYLE QUI MÉLANGE LES GENRES
Nattofranco propose une approche innovante et futuriste du streetwear Elle entremêle avec subtilité illustrations et calligraphie japonaise tout en rendant hommage à un style urbain et androgyne puisé dans l’univers de la banlieue parisienne.



« Ma marque ne parle pas de Paris ni de Tokyo, précise-t-elle. C’est une histoire de banlieue française et d’Hokkaido. C’est de là que je viens. »



Couleurs primaires, jeux d’estampes, bords francs et effets de collage… L’alliance de références passées, de couleurs des années 1990 ou d’un rap des années 2000 est mise au service d’une mode jeune et moderne.
On dit oui à ce mélange des genres plus que réussi !
www.nattofranco.com
www.instagram.com/nattofranco/
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